25 janvier 2009
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Qu'importe que l'hiver éteigne les clartés
Du soleil assombri dans les cieux attristés ?
Je sais bien où trouver encore
Les brillants rayons d'une aurore
Plus belle que celle des cieux.
Toi que j'adore,
C'est dans tes yeux !
Qu'importe que l'hiver ait des printemps défunts
Dispersé sans pitié les enivrants parfums ?
Je sais où trouver, non flétrie,
Malgré les bises en furie,
Une rose encor tout en fleur.
Ô ma chérie,
C'est dans ton cœur !
Ce rayon qui, bravant les ombres de la nuit,
Toujours splendide et pur au fond de tes yeux luit;
Cette fleur toujours parfumée
Qui dans ton cœur est enfermée
Et qui sait survivre à l'été.
Ma bien aimée,
C'est la beauté !
(Paul Collin)
Du soleil assombri dans les cieux attristés ?
Je sais bien où trouver encore
Les brillants rayons d'une aurore
Plus belle que celle des cieux.
Toi que j'adore,
C'est dans tes yeux !
Qu'importe que l'hiver ait des printemps défunts
Dispersé sans pitié les enivrants parfums ?
Je sais où trouver, non flétrie,
Malgré les bises en furie,
Une rose encor tout en fleur.
Ô ma chérie,
C'est dans ton cœur !
Ce rayon qui, bravant les ombres de la nuit,
Toujours splendide et pur au fond de tes yeux luit;
Cette fleur toujours parfumée
Qui dans ton cœur est enfermée
Et qui sait survivre à l'été.
Ma bien aimée,
C'est la beauté !
(Paul Collin)